publicitate
referencement



Lapeyre en lutte contactez nous...

Tri par : pertinence - date
1votez

Actualité Départementale : Lapeyre : un second jour de grève

Châteauroux. Une partie du personnel des établissements Lapeyre, situés à l'entrée de Cap Sud, a effectué une seconde journée de grève, hier, répondant ainsi à l'appel national lancé par les syndicats de l'enseigne. Il s'agit de la seconde en ...

1votez

Les employés de Lapeyre dénoncent la politique salariale du groupe

La direction a proposé une augmentation de salaire de 1,8 %, les syndicats exigent 5 %.

+votez

Les employés de Lapeyre dénoncent la politique salariale du groupe

La direction a proposé une augmentation de salaire de 1,8 %, les syndicats exigent 5 %.

2votez

Des fissures dans le front commun

Namur. Les chrétiens laisseront les socialistes manifester seuls, jeudi. La communication se passe mal entre les syndicats.

1votez

Rencontre syndicats-Marcourt sur le sort réservé à Saint-Gobain Auvelais

Les représentants syndicaux de Saint-Gobain à Auvelais ont rencontré, mardi à 8h30, le ministre wallon de l'Economie, Jean-Claude Marcourt, pour lui faire part de leurs inquiétudes au sujet du plan de ...

2votez

Saint-Gobain Auvelais: rencontre des syndicats avec J.-C. Marcourt

Selon Jean-Sébastien Belle, le chef de cabinet du ministre Jean-Claude Marcourt, les syndicats ont pointé du doigt lors de la réunion deux grandes inquiétudes. Ils se demandent d'abord si la direction a l'intention de redémarrer entièrement les activités sur le site d'Auvelais lorsque la crise sera terminée. Pour le moment, le Four G est en réfection depuis le mois d'avril. Il devait reprendre...

2votez

Saint-Gobain Auvelais: Syndicats s'attendaient à la restructuration

Selon les syndicats, certains signes étaient annonciateurs du projet des sociétés Saint-Gobain Glass et Sekurit de licencier respectivement 101 et 140 personnes. Cette dernière société, spécialisée dans la fabrication de verre plat à destination du bâtiment et de l'automobile, [...]

1votez

Saint-Gobain Auvelais: Syndicats s'attendaient à la restructuration

Les délégués syndicaux n'ont pas été vraiment surpris par le plan de restructuration visant à un licenciement collectif annoncé lundi matin par les directions des sites de Saint-Gobain Glass et Saint-Gobain Sekurit à Auvelais, ont-ils indiqué. Selon les syndicats, certains signes étaient annonciateurs du projet des sociétés Saint-Gobain Glass et Sekurit de licencier respectivement...

2votez

Saint-Gobain supprime 241 emplois à Auvelais

Selon le syndicat socialiste, l'ensemble du secteur du verre et de la céramique est touché de plein fouet par la crise économique BRUXELLES La société Saint-Gobain, spécialisée dans la fabrication de vitrage, va supprimer 241 emplois à Auvelais (Sambreville) sur [...]

1votez

Crise: Saint-Gobain supprime 241 emplois à Auvelais

Saint-Gobain projette de supprimer 101 emplois au sein de Saint-Gobain Sekurit, situé à Auvelais, et 140 emplois chez Saint-Gobain Glass, également situé à Auvelais, a précisé à l'agence Belga Paul Lootens, secrétaire fédéral à la centrale générale de la FGTB. Selon le syndicat socialiste, l'ensemble du secteur du verre et de la céramique est touché de plein fouet par la...

2votez

Licenciement à Saint Gobain : les handicapés d'abord !

Pour réduire les coûts en période de crise, Saint Gobain fait dans le délicat. Et vire une handicapée, après deux ans et demi de période d'essai. - LUTTES / France , une3 , social , Licenciement , Crise économique

  • 1 commentaire
     

    Cliquez ici pour voir les commentaires dans leur intégralité

    Droit de réponse

    La communication diffusée sur différents sites internet au cours des derniers jours nécessite que les faits soient rétablis. La Société Saint-Gobain Recherche...

    Saint-Gobain Recherche - (non membre) - 06/02/2009

     
5votez

Areva en mal d'argent frais

... Une chance ? Total serait intéressé par une part renforcée au capital. ArcelorMittal et Saint-Gobain seraient aussi sur les rangs. A.L.Lire aussi :, 23/01/2009 Derniers contrats Areva : uranium au Tricastin, métro à LyonAlors que le groupe peine à boucler son budget, deux contrats ont été récemment annoncés. Un deal de 58 millions d'euros autour du métro de Lyon, tout d'abord : le Sytral,...

Les employés de Lapeyre dénoncent la politique salariale du groupe

Publié par Lapeyre en Lutte lundi 9 mars 2009

Coups de sifflet, agitations, banderoles réclamant “Pouvoir d'achat !”, “Stop à la pression morale”. A Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), ce jeudi 5 mars au matin, les salariés de Lapeyre Maison, les magasins de bricolage et d'équipement de la maison, sont en colère. Ils sont une centaine, environ, venus d'un peu partout, des boutiques parisiennes, du grand magasin de Nanterre, et même de Limoges, pour protester contre la politique salariale du groupe et poursuivre une grève qui dure depuis plus d'une semaine. “On en a ras le bol, ils ont tiré sur la corde, maintenant elle casse”, s'emporte Nasser Douidi, délégué FO. Comme les autres salariés plantés devant les grilles du magasin d'Aubervilliers, le plus grand du groupe, il réclame une hausse de salaire “décente”, de 5 % en 2009, ainsi qu'un treizième mois “et tous les avantages et primes perdus en 1992″, indique-t-il. La direction, elle, propose 1,8 % d'augmentation. “Ils se cachent derrière la crise. On est conscient de la situation, on voit bien que ca va mal mais notre groupe est positif !”, signale M. Douidi. Le groupe, c'est Saint-Gobain, la société mère de Lapeyre, dont les profits ont atteint 1,3 milliard d'euros en 2008. Et même si certains ont peur que la crise se solde par des plans sociaux, ils ne veulent plus continuer à travailler “comme ça”. “Je suis arrivée il y a sept ans, comme vendeuse assistante, payée 1 450 euros, raconte une jeune femme de 28 ans sous couvert d'anonymat. J'ai accepté de changer de boutiques sans aucune contrepartie. Ça fait deux ans que je demande une formation pour évoluer dans le groupe, et rien.” A côté d'elle, Alhassane Samassa, venu de Nanterre n'a pas digéré, lui, qu'en arrivant dans le groupe, en 2007, son salaire soit de 1 350 euros au lieu des 1 400 euros bruts promis sur son contrat de travail. “Quand j'en ai parlé, on m'a dit que la direction avait changé, qu'ils n'étaient pas responsables”, raconte-t-il. “A Nanterre, certains sont payés 900-950 euros”, poursuit-il, sans plus de détails. Un peu plus loin, une quadragénaire qui travaille comme vendeuse, payée 1 350 euros net, rappelle qu'en neuf ans, elle n'a eu que 35 euros d'augmentation. “Si on est malade plus de deux jours, on n'a pas de prime !”, ajoute-t-elle. La révolte de ces employés a débuté mercredi 25 février, lorsque les négociations salariales annuelles ont échoué. Les premiers débrayages ont eu lieu à Aubervilliers, avant de se propager à Nanterre, Lille, Calais, Chambéry, Limoges, Bourg-en-Bresse, Arcueil, Toulouse… La plupart de ces magasins ont fermé de quelques heures à plusieurs jours. “On donne ce que l'on peut donner”, justifie pour sa part Jean-François Villard, directeur des ressources humaines de Lapeyre. L'entreprise vend des cuisines, des fenêtres, des parquets… à des particuliers qui souhaitent rénover leur intérieur. Et si Lapeyre a été frappé plus tardivement que les réseaux de professionnels par la chute de l'immobilier, “depuis quelques mois, on sent vraiment la crise”, signale M. Villard. “Quand on voit ce qui se passe chez nos voisins qui licencient, 1,8 % d'augmentation ce n'est pas si mal”, conclut-il.La direction a toutefois fait un effort en proposant, mardi 3 mars, au-delà des 1,8 % d'augmentations individuelles, une prime exceptionnelle de 350 euros et une revalorisation des minima de 1,5 % à 3 % au-dessus de la grille de la branche bricolage. A la suite de ces propositions, le syndicat CFDT a appelé à reprendre le travail, censé permettre à la plupart des magasins de rouvrir, tandis que FO, la CGT, la CFTC jugeaient encore ces avancées insuffisantes.

0 commentaires

Enregistrer un commentaire